Il faut parfois être très attentif pour faire une découverte, souvent fortuite. Quand j’habitais aux Batignolles, les peintures de l’escalier de mon immeuble furent refaites. Dans le couloir, derrière un placard arraché, apparut alors une plaque, dissimulée sous une bonne couche de peinture. Je m’en emparais avant que les peintres ne l’arrachent et la jettent à la poubelle. Sous la couche apparut alors un curieux document dont voici la reproduction. Cliquez dessus pour l’agrandir!
Les détails donnés sur ce document font un peu froid dans le dos. Mes parents habitaient le quartier à cette époque troublée. Ils m’ont raconté plus tard que, lassés par les alertes multiples, ils ne descendaient même plus aux abris. Et nombreux furent les parisiens à se comporter ainsi! Pourtant, les entrepôts des chemins de fer étaient proches et chacun redoutait un bombardement aux Batignolles! Rappelons que le terrible bombardement du quartier de la Chapelle, en avril 1944, fit 642 morts et 2 000 blessés.
J’étais trés jeune mais je me souviens trés bien de ce terrible bonbardement car avec mes parents nous habitions au 65 bd Ney. Le lendemain une morgue provisoire a été installée dans des entrepôts situés juste en face de notre maison.
en avril1944, quartier de la Chapelle, ma tante son mari son bébé (9mois) s’étaient réfugiés dans une cave – ma tante s’est réveillée quelques jours plus tard – elle avait tout perdu : son époux, son enfant et son bras droit – le désespoir total, une tragédie !
Merveilleusement et fantastiquement décrits par Louis Ferdinand Céline dans Féérie pour une autre fois, deuxième partie (Normance).
Lecture pour avertis.
Je voudrais connaître le nom du parachutiste martiniquais qui aurait empêché l’ultime bombardement de Paris lors de la dernière guerre mondiale. Merci d’avance.
Bonjour
Très émouvant ces commentaires’.. j’ai emmené ma mère rue Myrha début août pour un « pèlerinage »…en effet sa mère ( ma grand mère) est decedee sous les bombes alliées alors qu elle aidait sa voisine a préparer ses enfants..quant à mon grand père il était gravement blesse et est decede 4 ans plus tard’…en effet ma mère porte toujours ce deuil qu elle aussi n’a jamais réussi à faire…
le 52 Bd ney a étè bombardé aussi et trés longtemps les marques sur les briques de la reconstruction etaient visibles.La moitié des 6 étages en forme de cratère avait disparue.
Mes arrièresgrands parents tenaient la cordonnerie située au 90 rue de La Chapelle, l’immeuble n’a pas été soufflé pendant les bombardements; Je suis a la recherche de personnes qui ont été cachés dans la cave de la cordonnerie par mes arrières grands parents: Salute et Guiseppe Vecchies… si vous avez des informations je suis preneuse ! merci d’avance
Céline
hello guos 9128738516
cialis buy
cialis pill